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J’ai étudié au sein de la CPGE ECE de Cahors de 2017 à 2019. J’y ai reçu un ensemble d’enseignements très complet qui m’a permis d’enrichir ma culture et de développer un esprit critique vis-à-vis des phénomènes économiques, sociaux et politiques que connaissent les sociétés contemporaines. J’y ai aussi acquis de solides compétences en expression écrite et orale grâce aux sollicitations hebdomadaires (devoirs surveillés et colles).

Ces deux années de formation m’ont ouvert de larges perspectives de poursuites d’études. Bien qu’ayant passé les concours pour les écoles de commerce, j’ai aussi tenté l’entrée à l’École d’Économie de Toulouse. C’est finalement pour ce cursus universitaire sélectif que j’ai opté car il correspondait mieux à mes perspectives professionnelles.

              Bien qu’ayant reçu une formation très exigeante au Lycée Clément Marot, j’en garde de très bons souvenirs quant aux moments partagés avec mes camarades ainsi qu’avec mes professeurs. Ces derniers se sont en effet montrés très attentionnés et disponibles à tout moment pour nous conseiller, nous aider à progresser mais aussi à ne pas se décourager.

Aujourd’hui étudiante en Licence 3 d’Économie à l’École d’Économie de Toulouse, je mesure que la formation CPGE que j’ai reçue à Cahors m’a dotée de méthodes de travail efficaces et de valeurs indispensables telles que l’entraide et la persévérance.

Éloïse Passaga

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Bonjour,

Je m’appelle Romane et je suis actuellement en 3ème année de licence administration économique et sociale parcours économie et société et je poursuis mes études l’année prochaine en master ingénierie de la santé à Nice. J’ai effectué cette classe préparatoire cadurcienne de l’année 2017 à l’année 2019. J’ai passé mes concours du 29 Avril au 10 mai 2019 grâce auquel j’ai pu avoir des écoles telles que l’INSEEC de Bordeaux ou l’EM de Strasbourg.

Cette classe préparatoire m’a été indispensable pour apprendre à m’organiser notamment dans mon travail. En première année on est plutôt dans une poursuite du lycée en termes de charge de travail puis en seconde année la charge de travail est beaucoup plus importante mais nécessaire pour apprendre à s’organiser. Au cours de la classe préparatoire, grâce aux khôlles le soir ou encore aux entraînements aux entretiens d’admissions avec les écoles de commerces, l’entraînement à l’oral est vraiment très enrichissant pour les années qui suivent. Pour tout vous dire, je suis rentrée dans cette classe préparatoire avec de sérieuses difficultés à l’oral car j’étais très réservée. Je viens actuellement de passer 2 entretiens d’admissions aux masters et j’ai été prise aux deux car grâce aux entraînements de l’année dernière et le recul j’ai pu prendre de l’assurance.

Durant cette prépa, on ne se rend pas forcément compte des bénéfices puisque nous sommes centrés sur le travail, sur les khôlles, sur les devoirs surveillés. Mais quelques mois plus tard, on se rend vraiment compte qu’on arrive beaucoup mieux à s’organiser, qu’on prend plus d’assurance surtout lorsque l’on arrive à l’université. Le fait d’appendre des cours très long nous aide à exercer notre mémoire et à acquérir de nombreuses connaissances, les synthèses de textes et les résumés aident à vraiment s’améliorer en orthographe, en compréhension de textes ainsi qu’en reformulation. De même, le fait d’avoir des devoirs surveillés chaque mercredi après-midi permet d’obtenir une régularité dans le travail et de bien assimiler les cours.

Cette classe préparatoire est surtout réputée pour la bienveillance de ses enseignants, ce qui est réellement le cas car il y a vraiment un suivi et on ne nous laisse pas seuls devant la difficulté.

Je suis allée en classe préparatoire car j’avais le niveau pour y aller en terminale. L’économie et les mathématiques m’intéressaient et m’intéressent toujours actuellement. Je n’avais pas forcément de projet professionnel défini au commencement de la classe préparatoire et autour de nombreuses réflexions pendant mes années de classe préparatoire j’ai pu petit à petit déterminer ce que je voulais faire. Pour en être vraiment sûre, j’ai décidé de ne pas aller en école de commerce pour réfléchir un peu plus. Aujourd’hui, je suis sûre de moi et je me dirige vers le management des institutions et Services de Santé.

Romane VEGANZONES

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